Les suites d'implants malaires et d'implants temporaux

A la maison les premiers jours, il faudra vous reposer au maximum et éviter tout effort violent. Cependant, il faut marcher un peu et manger suffisamment pour permettre la cicatrisation.
Il est fondamental de ne pas fumer pendant 15 jours pour faciliter la cicatrisation et diminuer les risques de nécrose.

Dans le mois suivant l’intervention, il faut à tout prix éviter les traumatismes violents à l’endroit de l’implant qui pourrait entrainer son déplacement et donc nécessiter une remise en place chirurgicale.

En principe, il n’y a pas de douleur mais une gêne, notamment à la mastication.

Des bains de bouche antiseptiques seront prescrits pour les implants malaires.

Les bleus persistent en principe 8 à 15 jours et pourront être dissimulés par un maquillage.

Le gonflement est maximum au 3/4 ème jour post op. puis s’estompe progressivement mais le visage mettra plusieurs mois à prendre sa forme définitive. Comme les bleus, les gonflements et les éventuelles indurations sont toujours variables d’un côté à l’autre, il est classique dans les suites de l’intervention de présenter une dissymétrie, celle-ci ne préjuge en rien du résultat.

En plus des moyens habituels : Arnica, Auriderm … l’application de compresses froides permet d’agir sur les bleus et les gonflements pour en limiter l’importance et la durée. Il est aussi possible de favoriser le drainage du visage en adoptant temporairement une position de sommeil avec buste légèrement relevé.

Inscrivez, à la maison près du téléphone et dans votre portable, les coordonnées du cabinet 01 45 53 27 17 et de la clinique. N’hésitez pas à nous joindre si vous êtes inquiet(e). Par exemple avertissez-nous en cas de fièvre, suintement, douleur ou tout autre symptôme qui vous inquiète.

Arrêt d’activité à prévoir une à deux semaines en fonction de votre activité professionnelle.
Fils résorbables
Bleus 8 à 15 jours
Gonflement 15 jours vraiment visible

Exercice: pas de sport à risque pendant un mois mais il faut savoir qu’un choc violent même à long terme peut remettre en question le résultat.